« Nous sommes entourés par les traces du passé, un véritable jardin de fantômes », prévient l’auteur d’Arts of Living on a Damaged Planet. Garden of Ghosts nous place dans ce paradoxe : un espace qui cultive des vies qui ne sont plus mais qui n’ont pas cessé d’émettre les échos de leur présence. La condition transitoire de la nature est rendue par un algorithme de tri de pixels qui modifie les illustrations botaniques en une chaîne pulsatoire de leurs échos et traces.