Neon Minuit est un duo d'artistes qui utilise l’outil numérique. Ils capturent des morceaux du réel pour les mettre en scène dans leur terrain de jeu : le monde virtuel. Leur approche artistique est inspirée par l’expérimentation scientifique, la sérendipité. A l’aide des outils du jeux vidéo, ils explorent et expérimentent de nouvelles manières de percevoir les réalités, d’appréhender de nouveaux espaces et de fabriquer des illusions. A la manière de magiciens modernes, ils font chanter les pixels et danser les polygones.
Leur travail a pour point de départ le sujet du réel. Ils scannent des sculptures, des monuments, des personnes ou encore des paysages qu’ils rencontrent. Cette matière capturée par photogrammétrie leur permet de parcourir des espaces composés de nuage de point. Elle est la mémoire d’un passé, un souvenir spatial. Cette substance leur permet de composer des œuvres entre la réalité et le virtuel, la photo et l’écran, le film et le jeu. C’est dans ces intersections qu’ils déploient une esthétique particulière composée de milliers de points en suspension.
Neon Minuit est un duo d'artistes qui utilise l’outil numérique. Ils capturent des morceaux du réel pour les mettre en scène dans leur terrain de jeu : le monde virtuel. Leur approche artistique est inspirée par l’expérimentation scientifique, la sérendipité. A l’aide des outils du jeux vidéo, ils explorent et expérimentent de nouvelles manières de percevoir les réalités, d’appréhender de nouveaux espaces et de fabriquer des illusions. A la manière de magiciens modernes, ils font chanter les pixels et danser les polygones.
Leur travail a pour point de départ le sujet du réel. Ils scannent des sculptures, des monuments, des personnes ou encore des paysages qu’ils rencontrent. Cette matière capturée par photogrammétrie leur permet de parcourir des espaces composés de nuage de point. Elle est la mémoire d’un passé, un souvenir spatial. Cette substance leur permet de composer des œuvres entre la réalité et le virtuel, la photo et l’écran, le film et le jeu. C’est dans ces intersections qu’ils déploient une esthétique particulière composée de milliers de points en suspension.