Cette œuvre est issue d'une série recherchant les artefacts affectifs de chaque média. Kaspar y développe un language visuel à partir de l'erreur, du défaut, du bug ou encore de l'inconsistance.
"Si nous éprouvons aujourd'hui de la nostalgie envers le craquement d’un vynil ou envers le grain analogique de films anciens, quels seront les artefacts affectifs qui nous toucherons demain ?"