Dans son travail, Sanglim s’intéresse beaucoup à la question du corps, de la relation et de l’intimité. Elle aime étudier la forme humaine à travers des instruments comme le scanner, l'IRM, les rayons X, le microscope... En somme, elle aime étudier la façon dont notre corps est perçu par le prisme de la science et de la technologie. La façon dont ces appareils donnent à voir le corps lui permettent de l’appréhender comme un lieu où coexistent des entités fragmentées, plutôt qu’une entité singulière et saine.