"C'était une partie de mon projet d'étude dans mon premier semestre de master, une spéculation sur l'avenir de la vie du ghetto de Metro-Manillas, qui représente 4 millions d'habitants. L'idée principale de ce projet était d'imprimer en 3D une maison communautaire à l'aide de cendres humaines comme complément au matériau en béton. Cet espace devient alors sacré, donc un lieu de pèlerinage pour les proches, et reflète le cycle de vie de la communauté. La vraie beauté du projet réside dans l'éternité de la croissance : participer à l'œuvre implique de ne jamais la voir dans sa forme finale."