Le travail de vidéaste expérimental de Victoria s'inscrit dans le spectre de l'action performative analogique et de la virtualité qui répare l'usure de la mémoire personnelle et collective à l’origine de souvenirs déformés qui "corrompent l'information". Elle puise son inspiration dans les rues et l'architecture de Mexico, dans les arômes, le flou de ses premiers souvenirs, la beauté de la décadence, l'erreur, ses racines, l'amour et la vie.