Cette œuvre parle du moment où les forces de la nature se rassemblent, mais ne sont pas encore libérées. Elle parle du besoin d’un foyer et d’un abri, en tension avec le besoin d’aller à l’extérieur. Elle parle de calme et d’anticipation. Elle parle de la proximité troublante de la beauté et du danger. Elle parle également de la simulation algorithmique des médias traditionnels, comme la gravure ou le dessin à l’encre, et de la manière de combler le fossé entre deux âges de l’art qui semblent souvent étrangers l’un à l’autre.