Née à Nice en 1991, en 33 ans, la curieuse Julia Chameroy, alias Julink, a déjà écumé de nombreux coins de la planète : Canada, Irlande, Espagne, Australie, Asie et Amérique du Sud... De ces voyages et ces rencontres, elle ramène autant de souvenirs que d'inspirations pour ses créations pop, colorées et pleines de vie. Elle adopte une technique de collage mêlée à des jets de peinturEn novembre 2019, elle collabore avec Animah, une artiste pluridisciplinaire et coach de vie, ce qui donne lieu à sa première exposition. Leurs œuvres seront affichées pendant un mois « Chez Pauline », un café culturel niçois. L’année suivante, elle réalise une seconde exposition au Foam, un bar à bières situé dans cette même ville ensoleillée. En 2020, la pandémie la pousse à opter pour un style légèrement différent. Elle troque les pinceaux contre une tablette. Le monde du digital s’ouvre à elle. Elle se lance dans des challenges dédiés aux collagistes tels que Paris Collage Collective ou encore Februllage. Elle ne cesse de créer et d’inventer des œuvres, aussi amusantes que surréalistes, réalisées à l’aide de magazines papier numérisés ou totalement digitalisés.
Son univers est vintage mêlant pinup & astronomie. Julink cherche toujours à provoquer un sourire ou un rire aux personnes qui découvrent ses collages. Le déclic, c'est Keith Haring, l'une de ses idoles, qui lui a donné, avec cette phrase qu'elle a fait sienne : « L'art n'est pas une activité élitiste réservée à l'appréciation d'un nombre réduit d'amateurs, il s'adresse à tout le monde ».
Née à Nice en 1991, en 33 ans, la curieuse Julia Chameroy, alias Julink, a déjà écumé de nombreux coins de la planète : Canada, Irlande, Espagne, Australie, Asie et Amérique du Sud... De ces voyages et ces rencontres, elle ramène autant de souvenirs que d'inspirations pour ses créations pop, colorées et pleines de vie. Elle adopte une technique de collage mêlée à des jets de peinturEn novembre 2019, elle collabore avec Animah, une artiste pluridisciplinaire et coach de vie, ce qui donne lieu à sa première exposition. Leurs œuvres seront affichées pendant un mois « Chez Pauline », un café culturel niçois. L’année suivante, elle réalise une seconde exposition au Foam, un bar à bières situé dans cette même ville ensoleillée. En 2020, la pandémie la pousse à opter pour un style légèrement différent. Elle troque les pinceaux contre une tablette. Le monde du digital s’ouvre à elle. Elle se lance dans des challenges dédiés aux collagistes tels que Paris Collage Collective ou encore Februllage. Elle ne cesse de créer et d’inventer des œuvres, aussi amusantes que surréalistes, réalisées à l’aide de magazines papier numérisés ou totalement digitalisés.
Son univers est vintage mêlant pinup & astronomie. Julink cherche toujours à provoquer un sourire ou un rire aux personnes qui découvrent ses collages. Le déclic, c'est Keith Haring, l'une de ses idoles, qui lui a donné, avec cette phrase qu'elle a fait sienne : « L'art n'est pas une activité élitiste réservée à l'appréciation d'un nombre réduit d'amateurs, il s'adresse à tout le monde ».