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Les anémones Full Star sont des anémones hybrides assez récentes qui présentent une double couche de pétales. Elles ont beaucoup de personnalité et s'envolent lorsqu'elles s'ouvrent. Ici, Jamie Scott les photographie en Macro avec un arrière-plan en ton sur ton.
Associé à une partition musicale du compositeur Jim Perkins, Full Star Anemone 07 offre un moment de calme et de réflexion sur la vie, la mort, la beauté et le temps qui passe. Le nombre dans le titre de l'œuvre reflète le nombre de fois où la vidéo a dû être tournée pour obtenir la composition parfaite. Full Star Anemone 07 est un commentaire sur l'inconstance et l'imprévisibilité de la nature en soi, un regard sur la manière dont elle peut, par contraste, se figer dans le temps grâce à la technologie blockchain.
Des œuvres animées en boucle qui tissent des liens complexes entre les concepts profonds de l'évolution, de la transformation perpétuelle et du passage du temps. Chaque composition se lance dans un voyage immersif à travers une boucle transparente, projetant des échos réverbérants qui résonnent avec l'essence d'un univers dynamique et évolutif.
Des œuvres animées en boucle qui tissent des liens complexes entre les concepts profonds de l'évolution, de la transformation perpétuelle et du passage du temps. Chaque composition se lance dans un voyage immersif à travers une boucle transparente, projetant des échos réverbérants qui résonnent avec l'essence d'un univers dynamique et évolutif.
Des pièces animées en boucle qui tissent ensemble les concepts profonds de l'évolution, de la transformation perpétuelle et du passage du temps. Chaque composition s'embarque dans un voyage immersif à travers une boucle transparente, projetant des échos réverbérants qui résonnent avec l'essence d'un univers dynamique et évolutif.
Des œuvres animées en boucle qui tissent des liens complexes entre les concepts profonds de l'évolution, de la transformation perpétuelle et du passage du temps. Chaque composition se lance dans un voyage immersif à travers une boucle transparente, projetant des échos réverbérants qui résonnent avec l'essence d'un univers dynamique et évolutif.
Des pièces animées en boucle qui tissent ensemble les concepts profonds de l'évolution, de la transformation perpétuelle et du passage du temps. Chaque composition s'embarque dans un voyage immersif à travers une boucle transparente, projetant des échos réverbérants qui résonnent avec l'essence d'un univers dynamique et évolutif.
La série Latentscape AP est une exploration de paysages virtuels imaginaires remplis de formes complexes, de fissures, de sédiments et de flux. Les œuvres sont générées à l'aide de GAN, un algorithme couramment utilisé en intelligence artificielle, et entraînées avec des ensembles de données de modèles numériques d'élévation personnalisés, qui capturent les surfaces topographiques. Chaque pièce est immergée dans une musique produite par l'architecture SampleRNN, qui est entraînée avec des sons provenant de différentes traditions musicales, de transmissions radio et d'enregistrements sur le terrain, éloignés dans l'espace et le temps. Les paysages et la musique, avec leur diversité topologique et timbrale, dépeignent les points de rencontre des données humaines comme la fusion de pensées, de sentiments et d'expériences, et pas seulement de simples chiffres et nombres.
Latentscape AP 1 dépeint un paysage de feu et de glace. Une chaîne de montagnes rouge lave se heurte à ses sommets enneigés et à ses vallées gelées, mais coexiste avec eux. Sur une bande sonore d'un autre monde, le spectateur est plongé dans un univers éthéré où deux extrêmes météorologiques coïncident.
"Flower Dreams" est un collage de mode envoûtant qui transporte les spectateurs dans un monde où les rêves et la réalité s'entremêlent au milieu d'une tapisserie d'images florales sensuelles et douces. Cette œuvre d'art captivante célèbre la beauté éthérée des fleurs, lui insufflant un sens de la sensualité et une allure délicate.
La composition dégage une sensualité palpable, comme si chaque fleur était imprégnée d'un murmure de désir. C'est une célébration de la sensualité inhérente à la nature, un témoignage du pouvoir de la beauté de captiver et d'enthousiasmer.
A propos de l'œuvre d'art
Déambulation dans le Passage des Panoramas à Paris.
"Ces grands et beaux navires, qui se balancent (dandinent) imperceptiblement sur les eaux tranquilles, ces navires robustes, avec leur air oisif et nostalgique, ne nous disent-ils pas dans un langage muet : Quand partons-nous pour le bonheur ?" - Charles Baudelaire
Musique : Kyoto (Simon James French)
Voix : Alphaville (Jean-Luc Godard)
A propos de la série
"'Ces passages, nouvelle invention du luxe industriel, sont des galeries vitrées, lambrissées de marbre, qui traversent des blocs entiers d'immeubles dont les propriétaires se sont groupés pour de telles considérations. De chaque côté de ces galeries, qui reçoivent le jour d'en haut, s'alignent les magasins les plus élégants, de sorte qu'un tel passage est une ville, un monde en miniature.'' - Guide illustré de Paris, 1850
Dans ces galeries couvertes, d'innombrables magasins d'alimentation, restaurants, gadgets, souvenirs, produits dérivés et articles de prêt-à-porter ponctuent la promenade des passants. C'est un labyrinthe où s'étalent aussi bien la foule que la marchandise. Ces rues commerçantes ne sont ni complètement à l'extérieur ni complètement à l'intérieur de la ville. Elles agissent comme des seuils, des lieux de rêverie où le temps et la conscience du flâneur sont modifiés pour contrer l'expérience du choc de la grande ville. En effet, ces rues, animées par une architecture de fer et de verre, sont avant tout un refuge contre l'expérience inhospitalière et aveuglante qui caractérise les mégapoles. Les transformations induites par la modernité et la sphère commerciale ont réifié l'espace urbain. Les habitants de la ville ne s'y sentent plus chez eux, ils commencent à prendre conscience de l'inhumanité de la grande ville.
Seuil, zone tampon, zone de rêve, le passage est un lieu où se superposent plusieurs mémoires et états de conscience (rêve, éveil, conscience). La mémoire volontaire, celle du chaos de la marchandise et de la publicité, côtoie l'inconscient collectif, l'Idéal et l'Utopie. La mémoire collective est un composé de vérité et de trahison, d'utopie authentique et d'utopie fantasmagorique, nourri par le rêve de la marchandise. L'architecture du passage est la réification de cette pensée, et elle est donc un témoignage du rêve collectif.
Les passages apparaissent alors comme une antichambre de l'éveil collectif, où les images dialectiques se montrent dans leur double sens : d'une part tournées vers le mythe et l'archaïque, d'autre part tournées vers la promesse du progrès social. L'éveil du collectif apparaît alors comme la synthèse d'une conscience rêvée, et l'antithèse de la conscience éveillée.
Ce projet artistique, conçu comme un triptyque, a pour mission de présenter ces différentes formes de mémoire qui balancent les foules et circulent parmi les passages parisiens."
Benjamin Bardou
Les collectionneurs du triptyque complet recevront en exclusivité un NFT de Benjamin Bardou.
A propos de l'œuvre d'art
Déambulation dans le Passage Verdeau à Paris.
"Tout doit changer pour que rien ne change". - Le Guépard, Luchino Visconti
Musique : Within/Namiyoke Inari (Simon James French)
Voix : For Ever Mozart (Jean-Luc Godard)
A propos de la série
"'Ces passages, nouvelle invention du luxe industriel, sont des galeries vitrées, lambrissées de marbre, qui traversent des blocs entiers d'immeubles dont les propriétaires se sont regroupés pour de telles considérations. De chaque côté de ces galeries, qui reçoivent le jour d'en haut, s'alignent les magasins les plus élégants, de sorte qu'un tel passage est une ville, un monde en miniature.'' - Guide illustré de Paris, 1850
Dans ces galeries couvertes, d'innombrables magasins d'alimentation, restaurants, gadgets, souvenirs, produits dérivés et articles de prêt-à-porter ponctuent la promenade des passants. C'est un labyrinthe où s'étalent aussi bien la foule que la marchandise. Ces rues commerçantes ne sont ni complètement à l'extérieur ni complètement à l'intérieur de la ville. Elles agissent comme des seuils, des lieux de rêverie où le temps et la conscience du flâneur sont modifiés pour contrer l'expérience du choc de la grande ville. En effet, ces rues, animées par une architecture de fer et de verre, sont avant tout un refuge contre l'expérience inhospitalière et aveuglante qui caractérise les mégapoles. Les transformations induites par la modernité et la sphère commerciale ont réifié l'espace urbain. Les habitants de la ville ne s'y sentent plus chez eux, ils commencent à prendre conscience de l'inhumanité de la grande ville.
Seuil, zone tampon, zone de rêve, le passage est un lieu où se superposent plusieurs mémoires et états de conscience (rêve, éveil, conscience). La mémoire volontaire, celle du chaos de la marchandise et de la publicité, côtoie l'inconscient collectif, l'Idéal et l'Utopie. La mémoire collective est un composé de vérité et de trahison, d'utopie authentique et d'utopie fantasmagorique, nourri par le rêve de la marchandise. L'architecture du passage est la réification de cette pensée, et elle est donc un témoignage du rêve collectif.
Les passages apparaissent alors comme une antichambre de l'éveil collectif, où les images dialectiques se montrent dans leur double sens : d'une part tournées vers le mythe et l'archaïque, d'autre part tournées vers la promesse du progrès social. L'éveil du collectif apparaît alors comme la synthèse d'une conscience rêvée, et l'antithèse de la conscience éveillée.
Ce projet artistique, conçu comme un triptyque, a pour mission de présenter ces différentes formes de mémoire qui balancent les foules et circulent parmi les passages parisiens."
Benjamin Bardou
Les collectionneurs du triptyque complet recevront en exclusivité un NFT de Benjamin Bardou.
A propos de l'œuvre d'art
Déambulation dans le Passage Jouffroy à Paris.
"La mémoire est le seul paradis dont nous ne pouvons être chassés". - Johann Paul Friedrich Richter
Musique : Yokohama (Simon James French)
Voix : Pierrot le Fou (Jean-Luc Godard)
A propos de la série
"'Ces passages, nouvelle invention du luxe industriel, sont des galeries vitrées, lambrissées de marbre, qui traversent des blocs entiers d'immeubles dont les propriétaires se sont groupés pour de telles considérations. De chaque côté de ces galeries, qui reçoivent le jour d'en haut, s'alignent les magasins les plus élégants, de sorte qu'un tel passage est une ville, un monde en miniature.'' - Guide illustré de Paris, 1850
Dans ces galeries couvertes, d'innombrables magasins d'alimentation, restaurants, gadgets, souvenirs, produits dérivés et articles de prêt-à-porter ponctuent la promenade des passants. C'est un labyrinthe où s'étalent aussi bien la foule que la marchandise. Ces rues commerçantes ne sont ni complètement à l'extérieur ni complètement à l'intérieur de la ville. Elles agissent comme des seuils, des lieux de rêverie où le temps et la conscience du flâneur sont modifiés pour contrer l'expérience du choc de la grande ville. En effet, ces rues, animées par une architecture de fer et de verre, sont avant tout un refuge contre l'expérience inhospitalière et aveuglante qui caractérise les mégapoles. Les transformations induites par la modernité et la sphère commerciale ont réifié l'espace urbain. Les habitants de la ville ne s'y sentent plus chez eux, ils commencent à prendre conscience de l'inhumanité de la grande ville.
Seuil, zone tampon, zone de rêve, le passage est un lieu où se superposent plusieurs mémoires et états de conscience (rêve, éveil, conscience). La mémoire volontaire, celle du chaos de la marchandise et de la publicité, côtoie l'inconscient collectif, l'Idéal et l'Utopie. La mémoire collective est un composé de vérité et de trahison, d'utopie authentique et d'utopie fantasmagorique, nourri par le rêve de la marchandise. L'architecture du passage est la réification de cette pensée, et elle est donc un témoignage du rêve collectif.
Les passages apparaissent alors comme une antichambre de l'éveil collectif, où les images dialectiques se montrent dans leur double sens : d'une part tournées vers le mythe et l'archaïque, d'autre part tournées vers la promesse du progrès social. L'éveil du collectif apparaît alors comme la synthèse d'une conscience rêvée, et l'antithèse de la conscience éveillée.
Ce projet artistique, conçu comme un triptyque, a pour mission de présenter ces différentes formes de mémoire qui balancent les foules et circulent parmi les passages parisiens."
Benjamin Bardou