Bianca Shonee Arroyo-Kreimes (alias Shonee) est une artiste canadienne costaricienne basée à Montréal et spécialisée dans les médias numériques. Elle est titulaire d'un baccalauréat en animation cinématographique de l'Université Concordia, où elle est actuellement candidate à la maîtrise en intermédia. Elle a reçu en 2021 le prix Emerging Digital Artists Award de la Banque EQ et a présenté son travail à MUTEK, à l'Office national du film du Canada, à la Société des arts technologiques et à Filmgate Miami.
Ayant grandi à l'orée d'une forêt tropicale au Costa Rica, elle nourrit sa pratique créative et son travail s'efforce de ressusciter la signification de la place de la nature dans sa propre vie, aujourd'hui à la fois citadine et artiste multidisciplinaire. Dans les mondes virtuels qu'elle crée, les incarnations en 3D des organismes empruntent des formes, des couleurs et des histoires aux plantes et aux animaux de notre propre monde, tout en restant singulières. Cette décision consciente a pour but d'inspirer une nouvelle appréciation du monde non humain en danger que l'humanité considère souvent comme acquis, car ses représentations cherchent à incarner l'incompréhension apparemment objective et étroite de la nature par l'humanité en cette période de crise écologique.
Bianca Shonee Arroyo-Kreimes (alias Shonee) est une artiste canadienne costaricienne basée à Montréal et spécialisée dans les médias numériques. Elle est titulaire d'un baccalauréat en animation cinématographique de l'Université Concordia, où elle est actuellement candidate à la maîtrise en intermédia. Elle a reçu en 2021 le prix Emerging Digital Artists Award de la Banque EQ et a présenté son travail à MUTEK, à l'Office national du film du Canada, à la Société des arts technologiques et à Filmgate Miami.
Ayant grandi à l'orée d'une forêt tropicale au Costa Rica, elle nourrit sa pratique créative et son travail s'efforce de ressusciter la signification de la place de la nature dans sa propre vie, aujourd'hui à la fois citadine et artiste multidisciplinaire. Dans les mondes virtuels qu'elle crée, les incarnations en 3D des organismes empruntent des formes, des couleurs et des histoires aux plantes et aux animaux de notre propre monde, tout en restant singulières. Cette décision consciente a pour but d'inspirer une nouvelle appréciation du monde non humain en danger que l'humanité considère souvent comme acquis, car ses représentations cherchent à incarner l'incompréhension apparemment objective et étroite de la nature par l'humanité en cette période de crise écologique.