Loulou João est une artiste afro-belge. En raison de ses origines mixtes, elle a développé une vision interdimensionnelle du monde. Pour cette raison, elle aborde de manière analytique les aspects politiques, culturels, socio-économiques et historiques du monde blanc, examinant comment la blancheur en tant que norme et la supériorité perçue qui en découle sont maintenues et comment cela affecte son propre identité et sa position au sein de ce cadre social. Elle cherche à apporter un éclairage différent sur la narration et la représentation des femmes appartenant à la diaspora afro. Elle considère la noirceur comme une technologie, une technologie en constante évolution pour survivre et lutter contre des problèmes tels que l'objectification et l'oppression.
En utilisant un logiciel 3D (Blender), elle visualise sa propre réalité, un monde numérique composé d'objets en plastique mou et sucré. L'artiste utilise la mignonnerie hyper-féminine comme langage visuel pour créer un espace sûr, où elle peut se concentrer sur l'expression de son véritable moi sans être entravée par des constructions. Cela lui donne l'occasion de réfléchir aux difficultés auxquelles elle est confrontée et, espérons-le, rend des sujets comme la santé mentale, l'identité et la sexualité plus discutables.
Loulou João est une artiste afro-belge. En raison de ses origines mixtes, elle a développé une vision interdimensionnelle du monde. Pour cette raison, elle aborde de manière analytique les aspects politiques, culturels, socio-économiques et historiques du monde blanc, examinant comment la blancheur en tant que norme et la supériorité perçue qui en découle sont maintenues et comment cela affecte son propre identité et sa position au sein de ce cadre social. Elle cherche à apporter un éclairage différent sur la narration et la représentation des femmes appartenant à la diaspora afro. Elle considère la noirceur comme une technologie, une technologie en constante évolution pour survivre et lutter contre des problèmes tels que l'objectification et l'oppression.
En utilisant un logiciel 3D (Blender), elle visualise sa propre réalité, un monde numérique composé d'objets en plastique mou et sucré. L'artiste utilise la mignonnerie hyper-féminine comme langage visuel pour créer un espace sûr, où elle peut se concentrer sur l'expression de son véritable moi sans être entravée par des constructions. Cela lui donne l'occasion de réfléchir aux difficultés auxquelles elle est confrontée et, espérons-le, rend des sujets comme la santé mentale, l'identité et la sexualité plus discutables.
